Note: 97/100 Genre: Plate-forme
Sonic. Rien que le nom et on a déjà des frissons sur les bras. À l’origine, Sega cherchait une mascotte. Un personnage charismatique, fun, cool, rapide, rebelle, bref… un personnage capable de ridiculiser le plombier moustachu de Nintendo et de propulser Sega sur le devant de la scène. Ils voulait une mascotte, ils ont eu une légende. Le jeu dépasse l’entendement. C’est beau, c’est jouable, les musiques sont superbes. Mais surtout… c’est rapide. Le petit hérisson court, saute, roule avec une aisance jamais vu auparavant, tout ça dans des décors au level design à se taper le cul par terre avec des montées, des descentes, des toboggans et même des loopings. Bref, Sonic sur Megadrive c’est…. pffffffff, j’ai… j’ai pas les mots… 




Wiz’n’Liz sont un couple de sorciers qui doivent sauver des Wabbits qui sont en fait des lapins. Voilà pour le scénario. Léger, vous allez me dire et bien le jeu l’est aussi. On ne peut pas dire que c’est un mauvais jeu, mais je n’ai pas accroché. On court on saute, tout ça, à une vitesse qui ferait pâlir un 




Aujourd’hui, adaptation en jeu vidéo d’un chef d’œuvre de James Cameron… Titanic, euh non Terminator. En même temps on est plus proche du naufrage que du Skynet. Je vous passe le scénario connu de tous pour vous parler du jeu. Ça commence par une « intro », meilleur moment du jeu 🙂 durant laquelle on peut reconnaître la musique culte du film puis le naufrage commence. Un premier niveau dans lequel on lance d’abord des grenades, puis on ramasse un fusil d’assaut et on défouraille les « machines ». Un deuxième et un troisième niveau, tout aussi linéaires avec une seule arme que nous garderons jusqu’à la fin du jeu et avec laquelle on tir sur des policiers qui ne peuvent mourir et se relèvent indéfiniment. et enfin le dernier niveau dans l’usine avec un Terminator pour seul ennemi. Un bouton pour sauter, un pour tirer, quatre types d’ennemis (sept si je rajoute les deux avions et la grosse machine du début). Bref vous l’aurez compris, Terminator c’est le jeu à licence par excellence. Quand on sait que la même année sortent des jeux comme 















vous ne remplissez pas l’écran de l’adversaire. Chacun fait sa partie de son côté et le premier qui rempli son écran est le perdant. À la limite vous pouvez jouer à deux en coopération, chacun mettant une colonne à son tour. Doté d’une réalisation des plus sobres, Columns reste un bon jeu de réflexion sur 






















